« Délires, ombres de l'inconscient », une performance qui recherche la folie comme matière poétique et utilise l'architecture comme partie intégrante de l'œuvre, un cinéma vivant.
Œuvre hybride, née des arts du spectacle et qui dialogue avec l'architecture, le cinéma, la danse, la performance et les arts visuels.

Inspiré des êtres fantastiques de l’île de Prospero « La Tempête de Shakespeare ». Ici, les ombres font référence à l’inconscient, aux souvenirs d’enfance, au monde onirique et intangible de l’esprit humain. Enchevêtrement d'émotions, d'images et de sons, ce sont des oublis imaginaires dans un seul instant de délire qui se manifestent dans l'ombre de l'inconscient.